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La matière qui soutient

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Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre courbe au milieu de son atelier. Elle y jetait les extraits de cuivre en silence, laissant les desseins danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un marotte. C’était une respiration lente, une automatisme apparue d’un geste ancestral répété éternellement. Les morceaux, https://arthurpzehj.develop-blog.com/41256494/les-contours-calmés

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