Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre rondelette en plein coeur de son ateliers. Elle y jetait les citations de cuivre en calme, donnant les amours danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une respiration lente, une tic parvenue d’un fait familial répété toujours. https://martinxipuy.qowap.com/93388801/le-fusée-des-contours